HYLO®

EvoTears®

EvoTears® – Unique1 dans le traitement de la sécheresse oculaire evaporative !

Qu’est-ce qu’une instabilité de la couche lipidique ?

Dans près de 60 % des cas, la sécheresse oculaire est exclusivement la conséquence d’une instabilité de la couche lipidique2, conséquence d’un déficit lipidique du film lacrymal. Cette couche protège le film lacrymal des facteurs environnementaux. Elle a pour fonction de prévenir une évaporation prématurée du film lacrymal et de stabiliser sa phase aqueuse.

En cas d’altération de la phase lipidique, la couche aqueuse sous-jacente s’évapore prématurément, d’où l’apparition d’une sécheresse oculaire. Une phase aqueuse instable peut aussi provoquer un larmoiement.

 

L’évolution dans le traitement de la sécheresse oculaire

En 2015, le collyre EvoTears® proposait une toute nouvelle classe thérapeutique pour le traitement de la sécheresse oculaire. Ce premier collyre anhydre cible spécifiquement la couche lipidique déficiente – responsable de la sécheresse oculaire la plus fréquente chez près de 60% des patients. EvoTears® est en outre le premier collyre à base de perfluorohexyloctane, une substance innovante. EvoTears®, le substitut lipidique unique*, se distingue par son mode d’action et sa tolérance.

* grâce au perfluorohexyloctane et à sa formule anhydre

Symptômes typiquement associés à une instabilité de la phase lipidique

  • Larmoiement
  • Sensation de brûlure
  • Symptômes à prédominance matinale s’améliorant durant la journée

Principales causes de l’instabilité de la phase lipidique

  • Utilisation d’écrans numériques
  • Exposition aux courants d’air ou à l’air conditionné
  • Syndrome d’écran de visualistion
  • Conditions climatiques défavorables

Les larmes artificielles constituent le traitement de base de la sécheresse oculaire. Les gouttes purement hydratantes n’ont toutefois aucun effet sur l’altération sous-jacente de la phase lipidique.

Depuis 2015, EvoTears®propose une nouvelle classe thérapeutique unique pour le traitement de la sécheresse oculaire.

EvoTears® – Unique1 dans le traitement de la sécheresse oculaire evaporative !

  • Innovant, lipophile, sans eau – Made in Germany
  • Remplace la fonction de la phase lipidique en déposant une couche protectrice sur le film lacrymal
  • Protection efficace contre l’évaporation pour la grande satisfaction des patients
  • Ne nécessite pas d’excipients

 

EvoTears® associe de manière unique

1. Perfluorohexyloctane

Grâce à la présence d’une substance innovante, EvoTears® est lipophile mais il possède néanmoins le même indice de réfraction que les larmes. Le produit n’altère donc pas la vision.

Le perfluorohexyloctane possède d’autres propriétés qui révolutionnent le traitement de la sécheresse oculaire. EvoTears® se répartit très rapidement pour former instantanément une fine couche protectrice sur le film lacrymal. Il prévient ainsi son évaporation prématurée. En outre, la taille des gouttes ne dépasse pas 10 µl environ. Un flacon d’EvoTears® de 3 ml permet ainsi d’instiller jusqu’à 280 gouttes.

 

2. Formule anhydre

EvoTears® est le premier collyre sans eau pour le traitement de la sécheresse oculaire. Il ne contient qu’une seule substance, le perfluorohexyloctane. EvoTears® ne nécessite donc pas d’excipients (conservateurs, phosphates ou émulsifiants)

Avec EvoTears®, le traitement de la sécheresse oculaire repose pour la première fois sur l’instillation de gouttes oculaires sans eau. Satisfaction garantie pour les patients, grâce à une protection efficace contre l’évaporation.

Comment utiliser EvoTears®

Etant donné la faible tension superficielle d’EvoTears®, il est possible que les gouttes sortent du flacon sans que vous n’ayez appliqué de pression. C’est pourquoi nous recommandons la méthode d’application illustrée dans la vidéo.

EvoTears® Code CNK Conservation après ouverture Instructions de conservation
Flacon de 3 ml 3304-557 Se conserve 6 mois après ouverture Pas au-dessus de 25 °C


1 grâce au perfluorohexyloctane et à la formule anhydre
2 Tong L et al. Invest Ophthalmol Vis Sci, 2010. 51: 3449-3454.